Récents

Civilization : Le réchauffement climatique

« Elle a le mérite de mettre en avant un problème qui, à l’époque, passait au mieux pour une curiosité, mais avec des bases dont nous voyons aujourd’hui qu’elles ont leurs limites. »

Dave Neale, Matthew Dunstan : Echoes – L’Eclipse.

« Il a fallu faire des choix : la crise écologique, la criminalité, une intelligence artificielle folle et même un astéroïde. Que s’est-il passé ? Laquelle de ces menaces est à l’origine de l’effondrement ? »

Antoinette Rychner : Après le monde

« L’inertie climatique continue et menace l’humanité. Elle menace même les améliorations politiques et sociales obtenues grâce à la prise de conscience consécutive à la catastrophe. »

Estelle Faye : Un éclat de givre

« L’autrice exprime son affection et son admiration à l’égard de cette ville en montrant sa délicatesse et la douleur latente qui en émane. »

Neil Druckmann, Craig Mazin : The Last of Us

« Elle porte les stigmates de ce qui lui a été imposé. Il ne s’agit toutefois pas d’une révolte, mais plutôt d’une vérole ou d’une sécrétion sans signification écologique. »

Marine Duval : Epos, des Aubes et des Fins

« Les sociétés qui en résultent ne sont pas exemptes de pathologies sociales mais évitent soigneusement la gloutonnerie qui a généré la catastrophe. »

Doris Lessing : Shikasta

« Si Doris Lessing nous montre que nous sommes dévoyés, c’est en posant une hypothèse romanesque. Le divin n’est pas ce que nous croyons. »

Cormac McCarthy : La Route

« Après un effondrement dont on ignore la nature exacte, mais dont les conséquences écologiques sont lourdes, l’humanité se meurt. Le cycle de la vie s’est rompu. Les plantes ont dépéri et les animaux sont morts. »

Jérôme Leroy : Vivonne

« Les personnages ne cessent d’essayer de s’atteindre sans réussir. Ils se regardent comme des gravures disposées face-à-face avant de se sublimer dans la poésie d’Adrien Vivonne. »

Métro 2033 : le bout du tunnel

« Les stations apparaissent et résonnent comme des notes de musique. Chacune a une saveur mais toutes ont la personnalité du métro, c’est-à-dire celle d’un espace liminal, souffreteux et rouillé. »

This War of Mine : la guerre ne meurt jamais

« La décision récente du développeur 11 Bits Studios de reverser les bénéfices du jeu This War of Mine à la Croix rouge ukrainienne s’inscrit dans une résonnance historique liée à notre vision de la guérilla urbaine. »

The Rover : sage comme un combat

« Désert australien, primauté de l’automobile, violence endémique, absence de système étatique, personnage principal solitaire et taiseux, tous les éléments d’une filiation avec Mad Max sont présents. »

Ecologie : la croisée des chemins

« Combiner de cette façon une sagesse animiste avec une appréhension monothéiste constitue sans doute la principale force culturelle de l’affect écologique. »

Le krach du Bitcoin : un récit

« Le krach récent du marché des cryptomonnaies en mai 2021 est une partie d’un récit plus vaste, celui du marché, qui affecte de croire en sa propre destruction justement parce qu’il n’y croit pas. »

Le double concerto de Martinu : au bord du précipice

« Devant la crise écologique, il n’y aura ni Soviétiques, ni Américains pour nous sauver collectivement, ni chemin labyrinthique pour nous sauver individuellement, comme dans le cas de Martinu. »

Robinson Crusoé : l’illusion du confinement

« Le confinement consécutif au Covid-19 nous place dans une robinsonnade et toute robinsonnade est une illusion. Les autres, salvateurs ou infernaux, reviennent toujours, surtout dans les huis clos. »

Procope : l’autre virus (voir aussi Athènes)

« Que les sophistes, et ceux qui font profession de connaître les météores, en discourent comme il leur plaira ; pour moi, je me contente de représenter fidèlement quel a été son commencement, son progrès et sa fin. »

Sid Meier’s Alpha Centauri : sauve qui peut.

« La perspective générale du jeu n’est ni celle des technophiles anti-collapsologie, qu’ils soient réchauffistes (comme Laurent Alexandre) ou pas, ni celle des collapsologues. »

Le Fléau de Stephen King : en situation critique

« Le Fléau n’est donc un récit de type collapsologique ni par les événements qu’il relate, ni par celui qui l’impulse. Il peut être considéré comme une sorte de faux-ami dans l’optique d’une étude des situations d’effondrement dans la fiction. »

Mad Max : à court de ressources ?

« Ce monde sans État, amer et stimulant, évoque davantage l’extrapolation dévoyée d’une vision libertarienne que des formes de coopérations anarcho-socialistes. »

A propos de ce blog…

Ce blog se donne pour objectif de mettre à la disposition des internautes des idées et des concepts portant sur la place, dans la fiction, de la collapsologie ainsi que sur celle de son objet, l’effondrement des sociétés industrielles. Il ne s’agit pas d’articles de recherche (on ne trouvera ni système de notes, ni bibliographie) ou de critique littéraire mais plutôt d’argumentaires intuitifs mis à la disposition du public. Je commence mon propos sans prouver l’importance de mon sujet (comme…


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